Maintenir le budget du ministère de la Culture

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Ce sujet de conversation a été automatiquement créé pour la pétition Maintenir le budget du ministère de la Culture.

un Citoyen outré

#101 Re: Le gouvernement veut effacer notre lucidité...

2013-01-16 07:45

#98: Alexnolan - Le gouvernement veut effacer notre lucidité...  

 ho la la ! c'est intolerable de la part d'un élu de répondre de cette façon à un Citoyen ! qui de surcroit lui fait une remarque sensée et vérifiée maintes fois ! cet élu qui "sort son revolver" en entendant le mot CULTURE est indigne de sa fonction ! défendez-vous ! ne laissez pas passer pareille crétinerie !

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2013-03-10 11:32


L'Association de sauvegarde du Château de la Pilule Art Déco

#103 Sauvons le Château de La Pilule !

2013-03-18 01:32

Nous sommes l'association de sauvegarde du Château de La Pilule à Saint-Quentin (02).Un triste et révoltant projet de démolition pour cette magnifique et féerique demeure d'exception de style Beaux Arts en parfait état.
Un site dédié à la sauvegarde du château de la pilule a été créé ainsi qu'une page facebook.
Une pétition est en cours sur pétition24.net.Il convient de diffuser l'information au plus grand nombre (et de signer la pétition).L'association Vieilles Maisons Françaises VMF nous soutient.
Par avance un grand Merci pour votre aide !

La commission CRPS à la DRAC Picardie a eu lieu le 30 mai et nous sommes dans l'attente de la décision du préfet de région et du ministère quant à une inscription ou une MH.

On continue d'y croire !

Tant de beaux projets possibles; Musée régional de la Reconstruction, Centre culturel innovant un peu dans l'esprit du projet des Lizières du château d'Epaux Bézu (artistes d'horizons divers, philosophes, conférences innovantes, ...),...

Cette demeure ne demande qu'à vivre et vivre encore.


Visiteur

#104

2013-05-22 15:09

Et dire qu'il y a plus de pétitionnaires pour le maintien de l'émission télé "chabada" ...

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2013-06-16 02:04


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2013-06-18 20:32


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2013-06-23 05:00



Visiteur

#108

2013-07-02 08:54

Sans subvention, il n'y aura plus de diffusion de la Musique, des musées disparaitront faute d'entretien.
Il faut dépenser moins en dépensant MIEUX.
La Culture est indispensable encore plus en temps de crise.

Visiteur

#109

2013-07-04 07:01

et oui ! en France on a toujours pas compris que la culture était créateur d'emplois...qui pourrait expliquer ça au gouvernement ? à ces gens qui sont si éloignés du peuple et qui nous dirige !

Musicalement
Christophe Lartilleux / Latcho Drom

Visiteur

#110

2013-07-04 09:09

Dans un pays de culture comme la France où nombre
de jeunes ou étudiants étrangers viennent pour cela,que ce soit pour notre littérature, nos musées, nos peintres etc... il est plus que triste de voir ce que
devient notre culture,sans parler de l'enseignement...Bravo de réagir.
L'Association de sauvegarde du Château de la Pilule

#111 Sauvons le Château de La Pilule !

2013-07-04 20:47


Nous sommes l'association de sauvegarde du Château de La Pilule à Saint-Quentin (02).Un triste et révoltant projet de démolition pour cette magnifique et féerique demeure d'exception de style Beaux Arts en parfait état.
Un site dédié à la sauvegarde du château de la pilule a été créé ainsi qu'une page facebook.
Une pétition est en cours sur pétition24.net.Il convient de diffuser l'information au plus grand nombre (et de signer la pétition).L'association Vieilles Maisons Françaises VMF nous soutient.
Par avance un grand Merci pour votre aide !

La commission CRPS à la DRAC Picardie a eu lieu le 30 mai et nous sommes dans l'attente de la décision du préfet de région et du ministère quant à une inscription ou une MH.

On continue d'y croire !

Tant de beaux projets possibles; Musée régional de la Reconstruction, Centre culturel innovant un peu dans l'esprit du projet des Lizières du château d'Epaux Bézu (artistes d'horizons divers, philosophes, conférences innovantes, ...),...

Cette demeure ne demande qu'à vivre et vivre encore.

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2013-07-28 08:50


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2013-07-31 02:34


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2013-11-11 07:50


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2013-12-03 12:15


visiteur

#116 tire du livre noir de l'ENA

2014-01-27 23:32

Chapitre II Culture : les ravages de l’argent public orchestrés par les énarques «Dans le domaine culturel, agir, c’est avant tout dépenser, et le plus visiblement possible»15 «Si la culture n’est en rien une marchandise, elle génère de l’action culturelle», bel essai d’Olivier Dassault, rapporteur du budget de la Culture à la commission des Finances de l’Assemblée nationale pour faire passer l’idée que la culture peut être considérée comme une activité économique à part entière. Problème, selon nossources : «dans les hautes sphères culturelles de l’Etat, la culture est noble et gagner de l’argent avec la culture est bas»au point qu’il est très difficile d’introduire des directions marketing et management dans les établissements culturels. -La culture n’est pas une marchandise… Dans un établissement culturel parisien financé à la fois par l’Education nationale et la Recherche et précédemment dirigé par un énarque de la sphère Lang (ancien du cabinet et décrit par ceux qui le connaissent comme unsatrape), sévit un curieux comité d’accueil pour ceux qui viennent du privé. Pour développer l’activité du lieu, le nouveau directeur (énarque lui-même) a choisi un manager du privé. Immédiatement, les syndicats de l’établissement ont fait un recours auprès du tribunal administratif pour tenter d’empêcher sa nomination. Un manager qui vient du privé, qui veut de l’efficacité dans un établissement culturel dérange. «Ils ne veulent pas que l’argent qui pourrait leur revenir soit dépensé pour faire du marketing et faire connaître nos activités, ils considèrent que c’est de l’argent sale.» -mais une chasse gardée des énarques… Aujourd’hui, pratiquement aucun des managers qui officient dans les établissements publics culturels, ne vient du privé. Et ce pourune raison simple, les règles sont tellement difficiles à suivre, forgées par des énarques pour des énarques, que ceux du privé qui s’y frottent avouent que, sans un énarque dans la direction, on ne peut comprendre le fonctionnement culturel. Il est pratiquement impossible de faire entrer des personnes extérieures au réseau de l’ENA. C’est bien cela que dénonce, avec beaucoup de diplomatie, le club Culture et management. Michel Koch (ESCP 92
visiteur

#117 ditto

2014-01-27 23:33

De la politique culturelle La France a été le premier pays à se doter d’un ministère de la Culture et donc d’une «politique culturelle». Depuis, le budget consacré à la culture ne cesse d’augmenter, non seulement de la part de l’Etat mais encore de toutes les institutions cherchant à mener leur politique culturelle. Le projet de budget de la culture pour 2005 atteint 2.787,43 millions d’euros, soit une dotation en progression de 5,6% par rapportaux crédits ouverts par la loi de finances initiale pour 2004, déjà en hausse de 5,7%. La plupart des autres pays européens n'ont pas créé un Ministère de la Culture à part entière, mais l'ont associé à d'autres domaines étroitement liés. L'Espagne et la Suède, entre autres, l'ont regroupé avec l'Education nationale comme le souhaite Marc Fumaroli, Académicien et auteur de L’Etat culturel, Essai sur une religion moderne. La Suède par exemple a un budget annuel culture 2005 de 5 millions d’euros contre 2,7 milliards d’euros en France. Par habitant, l’Etat suédois dépense ainsi 0,55 euros contre 45 euros pour la France. Lorsque l’on pense au rayonnement culturel de la Suède, on évoque évidemment les Nobel. Les prix Nobel sont la propriété d’une fondation privée comme nous n’en avons pas en France dans la culture. François Pinault avait tenté un essai il y a quelques mois, avec l’issue que l’on connaît
visiteur

#118 ditto

2014-01-27 23:34

Au ministère français de la Culture, un certain flou reste de mise sur le total des subventions consacrées à la Culture. Le seul chiffre disponible est une estimation du Département des études et de la prospective du ministère de la Culture : en 2004, le total de l’argent public dépensé en France pour la culture s’élève à 11 milliards d’euros budgétaires. Soit, quand on prend en compte non seulement le budget du ministère de la Culture mais aussi les budgets culture des autres ministères (recherche, éducation, tous les ministères ont des lignes de crédit dédiées à la culture) 5,3 milliards venant du budget de l’Etat (2% du budget de l’Etat) et 5,3 milliards venant des collectivités (3,7 % du budget des collectivités), bien au-dessus de l’objectif du 1 % culturel, sans compter les 952 millions €consacrés en 2004 aux intermittents du spectacle par l'assurance chômage des salariés du privé.La France dépense ainsi des sommes pharaoniques pour la Culture par rapport à nos voisins européens. Projet Loi de Finances 2005 (ministère de la Culture) Mission Culture et Communication Patrimoines Création 1.080.982.668 € 916.580.817 € Transmission des savoirs et 667.816.159 € démocratisation de la culture Les objectifs de cette dépense restent très vagues et le ministère de la Culture doit souvent remonter à l’origine de sa création (1959) et citer Malraux pour justifier son existence (encore que d'après Alain Peyrefitte, la création de ce ministère tienne beaucoup au besoin de recaser André Malraux, incontrôlable au ministère de l'Information). Cependant, il semble que cela ne suffise plus et que la notion d’intérêt général y soit de plus en plus vague. Si on suit André Malraux, on comprend que l’action culturelle de l’Etat français se définit par le devoir de l’Etat «d’exprimer le génie profond des peuples. (…)C’est à elle (la France) qu’il revient d’être une métropole de l’art et de l’esprit, chargée de diffuser la connaissance et de révéler au monde ses chefs d’œuvres.» Grandiloquent programme. Tellement qu’on en a oublié, tout en distribuant de plus en plus d’argent (depuis 1959 on a vu se multiplier les crédits du ministère de la culture par 7016), de fixer des objectifs plus concrets. Alors, le culturel est devenu le tout culturel ou le rien culture 16Chiffres de Maryvonne de Saint Pulgent paru dans Le gouvernement de la culture
visiteur

#119 ditto

2014-01-27 23:35

Des augmentations de budget bénéficiant d’abord à la structure Dans Le Gouvernement de laculture, Maryvonne de Saint Pulgentexplique : «Depuis 1959, les crédits du ministère de la Culture ont doublé tous les dix ans (…) Les bénéfices de cette manne ont été inégalement répartis. Les évolutions structurelles du budget de la rue de Valois jettent une lumière crue et inattendue sur les priorités réelles des ministres successifs. Grâce à ces quarante ans de prospérité, toutes les disciplines ont vu leurs crédits croître en francs constants. Mais, si elles regardent leurs voisines, elles y voient des gagnantes et des perdantes. Du côté des perdantes : les archives et surtout le patrimoine (…), du côté des gagnants : les frais de structureavec plus de 23 %.» Sur l’évaluation du nombre de personnels du ministère de la Culture, le rapporteur spécial chargé du sujet à la commission des Finances de l’Assemblée nationale, le député de l’Oise Olivier Dassault déplore une certaine opacité : «Les effectifs budgétaires, que votre rapporteur a eu le plus grand mal a connaître avec précision, soit 13.613 emplois, sont en diminution de 206 postes par rapport à ceux inscrits dans la loi de finances pour 2004, qui étaient déjà en baisse de 191postes. Parmi ces 206postes en moins, on compte 90véritables suppressions d’emplois dont vous trouverez le détail dans la note qui vous a été remise.»En réalité, comme l’explique le rapporteur, cette diminution de postes au niveau du ministère se concrétise par des ré-affectations dans d’autres structures publiques (EPIC ou autres). Et l’opacité dans la gestion du patrimoine immobilier du ministère de la culture est aussi légendaire. Marc Fumaroli Académicien, professeur au collège de France, Historien des idées et des formes littéraires et artistiques de l’Europe, auteur de L’Etat culturel
visiteur

#120 ditto

2014-01-27 23:37

Le grand reproche que l’on peut adresser à ce que l’on appelle «politique culturelle» en France, c’est de pousser l’Etat à préférer, par un souci obsessionnel d’«image», des interventions spectaculaires et coûteuses dans des domaines où beaucoup de choses pourraient fort bien se défendre toutes seules; elles deviendraient même plus inventives et imaginatives si elles étaient moins ouvertement protégées par une administration sortie de ses compétences propres et se prenant pour impresario, voire, comme Néron, artiste elle-même. La politique culturelle pousse l’Etat à se montrer moins empressé et dispendieux dans les domaines où il est vraiment seul à pouvoir intervenir dans l’intérêt de tous, sans tenir compte de la rentabilité immédiate. C’est cette dérive qu’il importe de corriger. Il est très probable que l’«exception culturelle» serait plus persuasive aux oreilles, et prestigieuse aux yeux, de nos partenaires étrangers si elle pouvait s’appuyer sur une définition moins laxiste et plus rigoureuse des «œuvres de l’esprit», ne donnant pas l’impression de servir avec plus de zèle la paille que le grain, les paillettes sur la peau que les cellules de la matière grise.» Catherine Trautmann, Député européen et ancien ministre de la Culture : «Le ministère de la Culture est-il réformable ? le réforme de l’Etat doit se faire de la manière la moins politicienne possible. Dans la durée, nous avons perdu beaucoup de temps dans la réforme de la culture parce que les différents ministres qui se succèdent ne s’intéressent pas à la question juridique ou économique du ministère. Seul l’artistique les intéresse.Il faudrait un débat très large sur ce sujet mais il n’y a pas de débat, il n’y a aucun débat sur le sujet. Les parlementaires qui s’y intéressent sont très peu nombreux. L’apport du privé doit être
visiteur

#121 ditto

2014-01-27 23:39

reconnu : l’Etat ne peut être présent sur tous les fronts, sinon, il obtient de mauvais résultats.» A méditer. Avec son ministère de la Culture, que la France est l’un des seuls pays à avoir conservé, la France soigne son exception du mieuxpossible. Chacun à leur façon, Catherine Trautmann, Marc Fumaroli et Maryvonne de Saint Pulgent le soulignent, cette politique d’une inflation constante des deniers publics dépensés -souvent par des énarques-pour le tout culturel tue à petit feu tout marché qui pourrait exister sans financement public. Alors qu’on nous annonce toujours le fameux 1 % culturel du budget, qu’on évoque à longueur de discours les 2,7 milliards d’euros consacrés à la culture en France, c’est en réalité 11 milliards d’euros definancements publics alloués chaque année aux activités culturelles publiques. 11 milliards d’euros auxquels il faut fixer des objectifs concrets ou qu'il supprimer. A l’heure de la LOLF où l’argent manque cruellement dans les caisses de l’Etat et des collectivités, il serait temps de faire le bilan et de déterminer quelles sont les dépenses qui, au sein de ces 11 milliards, mériteraient qu’on les pérennise. Mais pour cela il faudrait nommer aux postes clés de vrais gestionnaires
visiteur

#122 l'analyse complete des ravages de l'Enarchie

2014-01-27 23:41

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2014-11-11 22:43


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2014-11-14 17:58