NON Au BURKINI en CORSE

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Ce sujet de conversation a été automatiquement créé pour la pétition NON Au BURKINI en CORSE.


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#101

2016-08-17 21:51

Quand on vit dans un pays on s adapte et on n impose pas et on ne provoque pas
Dominique DI Pietro

#102

2016-08-18 19:16

hier,apres les incidents de Sisco haute Corse .

gegedve

#103

2016-08-18 19:30

La Corse comme le reste de France ne saurait tolérer plus longtemps les provocations des musulmans radicaux ou autres qui ne veulent pas se plier aux régles de la LAICITE et de la REPUBLIQUR

Petru Guelfucci

#104

2016-08-19 04:44

Le choix vestimentaire de la femme lui appartient, dans la mesure qu'elle se respecte et respecte les autres.


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#105

2016-08-19 07:18

J'ai signé cette pétition le 19 août, 2016. Je suis parfaitement en accord avec les termes de cette pétition. Si les maghrébins ne peuvent s'intégrer et respecter les valeurs de la république et les Corses ils n'ont qu'à partir nous ne les retenons pas .....bien au contraire!

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#106

2016-08-19 07:20

Yllyrienne

 

J'ai signé cette pétition le 19 août, 2016. Je suis parfaitement en accord avec les termes de cette pétition. Si les maghrébins ne peuvent s'intégrer et respecter les valeurs de la république et les Corses ils n'ont qu'à partir nous ne les retenons pas .....bien au contraire!

fistoulic

#107 Re: Bravo , nous sommes tous de cet avis , cependant il y aura toujours des SOS machin !!!!

2016-08-19 07:43

#14: -  

 

Franck2B

#108

2016-08-19 12:40

19/8/16 la religion doit être de l'espace de l'intime si on l'étale sur la place, ou la plage ça devient une revendication politique. Il s'agit aujourd'hui de véritables provocations. Certes il ne faut pas ceder à ce piège mais ce n'est pas une raison pour tout accepter 


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#109

2016-08-19 15:26

Va vraiment falloir que tout s'arrête parce que sa très très mal finir. Que l'ont fasse pareil en Arabie saoudite et ont verra comment ça réagit
Respect , Adaptation, Responsabilité

#110 _ S'adapter au Pays d'accueil.

2016-08-19 15:35

 

C'est une question de se respecter et de se faire respecter.

Si nous inversons la situation, par exemple, si des femmes se baignaient en bikini sur une plage publique, dans un pays arabe, tel qu'Arabie-Saoudite, Algérie, Tunisie, Maroc, comment les gens réagiraient-ils,   ..... ..... ..... ..... .....  ainsi que les autorités ? 

Il faut savoir inverser la situation pour mieux comprendre.

Chacun a la responsabilité de s'adapter aux us et coutumes du Pays qui les accueille.

 


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#111 Re: Re:

2016-08-19 21:12


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#112

2016-08-20 08:40

Viva corsu

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#113 Re:

2016-08-20 14:15

#112: -  

 Viva corps nu

Hoda, femme Saoudienne

#114

2016-08-20 14:33

 

 

Hoda, 33 ans, est  en  colère :

« Je  ne  comprends  pas  pourquoi  des  femmes  en  France  se  battent  pour  porter  le  burkini,  alors  que  nous,  saoudiennes  (pas toutes)  voudrions-nous  nous  débarrasser  de  l’abaya,  du  voile,  de  tous  ces  bouts  de  tissus  qui  nous  enferment  dans  notre  existence.

Il y a trois ans, j’ai eu l’occasion de séjourner pour mes vacances à Cannes.

Je n’ai jamais vu de femmes saoudiennes ou musulmanes porter le burkini sur les plages.

Je  crois  que  nous  nous  devons  de  respecter  les  coutumes  d’un  pays  comme  la  France  qui  nous  accueille.

De  la  même  manière,  lorsque  des  étrangers  ou  étrangères  viennent  en  Arabie  Saoudite,  ils  doivent  se  plier  à  notre  culture,  et  notre  façon  de  vivre.

Si  vous  voulez  connaître  le  fond  de  ma  pensée,  je  pense  que  toute  cette  polémique  autour  du  burkini  est  une  provocation  de  femmes  qui  déshonore  notre  religion,  l’islam.  J’ai  parfois  honte  pour  elles ! »

 

 

Femme Saoudienne

#115

2016-08-20 14:51

 

 

 

 

La  polémique  du  burkini  vue  d'Arabie  Saoudite

 

 

 

À l'heure où le port du burkini sur les plages divise l'opinion en France, notre correspondante Clarence Rodriguez a interrogé  des  femmes  saoudiennes  sur cet habit qui enflamme les débats. 

On a tout lu, tout dit, tout entendu, sur le burkini enfin, presque !

Mais  que  pensent  réellement  les  saoudiennes  sur la polémique torride qui alimente cette fin d’été en France? 

Je vis à Riyad depuis onze ans. Journaliste-correspondante, grâce à mon statut, je suis totalement immergée dans cette société  qui  laisse  peu  de  place  aux  femmes  qu’elles  soient  saoudiennes  ou  étrangères.

Même tarif ! Je suis les discussions sur le burkini depuis le début.

C’est naturellement que j’ai voulu  connaitre  l’opinion  de  saoudiennes  qui  ont  accepté  de  se  dévoiler,  de  dire  ce  qu’elles  pensaient  de  cette  polémique  en  France.

Les  femmes  en  Arabie  Saoudite  n’ont  d’ailleurs  aucune  entité  juridique, elles  ne  jouissent  d’aucune  existence  légale.

Elles sont inféodées à un tuteur  (Un père, un mari, un frère, un fils …)  bref, ce sont les hommes ici, qui décident pour elle.

Ils  ont  un  droit  de  vie  et  de  mort  sur  elles.

Quand bien même, les amies saoudiennes que je côtoie refusent d’employer le mot  «aliénation»,  c’est pourtant bien de cela dont il s’agit au regard des  interdictions  qui  leur  sont  imposées.

Interdiction  de  conduire,  de  voyager  sans  l’autorisation  du  tuteur,  de  prendre  un  verre  sur  une  terrasse,  de  partager  les  espaces  publics  avec  un  homme  autre  que  son  époux,  ou  membre  de  sa  famille … et,  de  se  baigner  dans  la  mer,  ou  dans  les  piscines  des  hôtels …

Nous, non plus, femmes occidentales ! Seules les plus nanties d’entre elles disposent d’une piscine, et peuvent se baigner à l’abri des regards indiscrets…

A Jeddah, il existe des plages privées, où des saoudiennes un peu plus «affranchies» que d’autres, portent un maillot une pièce, ou le bikini. Liberté d’offrir ce corps à moitié dévêtu, aux rayons du soleil quand bien même, derrière ses lunettes noires fumées, le mari veille au grain, cela ne l’empêche pas de mâter les autres femmes.

 

" Encore une fois, je constate que  ce  sont  les  hommes  qui  s’accaparent  du  sujet "

 

Fawzia, 35 ans, ne comprend pas pourquoi cette polémique, et de s’expliquer sans ambages :

«Y en a marre que l’on parle en notre nom.  Le  burkini,  moi,  je  refuse  de  le  porter.  Cela  n’a  rien  à  voir  avec  la  religion.

Comment  peut-on  dire  que  ce  vêtement  permette  aux  femmes  de  se  libérer ?

C’est  faux !  Et  archi-faux !  Je  me  sens  libre  dans  mon  maillot  deux-pièces.

Au  fait ?  Toi, Clarence as-tu essayé de nager avec un burkini ?»

Non, pas vraiment, lui ai-je répondu avec un petit rictus qui en disait long.

 

Noura, 42 ans, fustige ces hommes, ces censeurs :

« Au  nom  de  qui ?  De  quoi ?  Les  hommes  en  France,  qu’ils  soient  politiques  ou  anonymes  se  sont-ils  emparés  du  sujet ?

Encore une fois, je constate que  ce  sont  les  hommes  qui  s’accaparent  du  sujet,  de  la  condition  des  femmes.

Ce  qu’elles  doivent  dire,  porter  comme  vêtement,  burkini  pas  burkini … Bref,  c’est  fatigant !»

 

Hoda, 33 ans, est  en  colère :

« Je  ne  comprends  pas  pourquoi  des  femmes  en  France  se  battent  pour  porter  le  burkini,  alors  que  nous,  saoudiennes  (pas toutes)  voudrions-nous  nous  débarrasser  de  l’abaya,  du  voile,  de  tous  ces  bouts  de  tissus  qui  nous  enferment  dans  notre  existence.

Il y a trois ans, j’ai eu l’occasion de séjourner pour mes vacances à Cannes.

Je n’ai jamais vu de femmes saoudiennes ou musulmanes porter le burkini sur les plages.

Je  crois  que  nous  nous  devons  de  respecter  les  coutumes  d’un  pays  comme  la  France  qui  nous  accueille.

De  la  même  manière,  lorsque  des  étrangers  ou  étrangères  viennent  en  Arabie  Saoudite,  ils  doivent  se  plier  à  notre  culture,  et  notre  façon  de  vivre.

Si  vous  voulez  connaître  le  fond  de  ma  pensée,  je  pense  que  toute  cette  polémique  autour  du  burkini  est  une  provocation  de  femmes  qui  déshonore  notre  religion,  l’islam.  J’ai  parfois  honte  pour  elles ! »

 

 

Sur d’autres plages de la côte Ouest du royaume, des ombres noires déambulent façon femmes-grenouille.

Oui, elles portent le burkini !  Mais elles ne sont pas légions.

J’ai souhaité les interroger, elles ont refusé de répondre à mes questions. 

 

 

Clarence Rodriguez, Journaliste-Correspondante, Paris-Match, France Info, France Inter, RFI… ) auteure de «Révolution sous le voile» (Editions First),

réalisatrice du documentaire 52' «Arabie Saoudite, Paroles de femmes» (France5) 

 

 

 http://www.msn.com/fr-ca/ actualites/monde/la-pol%c3%a9mique-du- burkini-vue-darabie-saoudite/ar-BBvQ9Kl?li= AAgh0dy&ocid=SK2MDHP

 

Ce message a été supprimé par son auteur (Montrer les détails)

2016-08-21 03:59



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#117 Re:

2016-08-21 04:01


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#118 Re:

2016-08-21 04:02


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#119 Re: _ S'adapter au Pays d'accueil.

2016-08-21 04:03

Unification

#120 - Modération

2016-08-22 18:47

 

 

Polémique  sur  le  burkini : 

 

" L'État  est  laïc,  mais  les  individus  ne  le  sont  pas "

 

Depuis le début de la polémique du burkini, les arguments de ceux qui s'y opposent fusent: "atteinte à la laïcité", "provocation", voire "promotion du salafisme".

Notre contributeur, l'avocat et directeur du site Cultures & Croyances, Asif Arif, y répond.

 

Ces derniers jours, les internautes et les médias se sont déchaînés sur la question du burkini.

De nombreux arguments et contre-arguments ont été avancés.

On a pu observer que les questions qui revenaient fréquemment, on pouvait observer qu'il s'agissait davantage de confusions existantes dans l'imaginaire des Français, plutôt que de vraies problématiques de fond que notre société doit traiter.

Le burkini, une atteinte à la laïcité?

Une acception commune ressort de différents textes ou commentaires qu'on a pu lire depuis le début de cette polémique: l'espace public est neutre et cette neutralité s'appuie sur le principe de la laïcité de l'Etat.

Mais si l'Etat, à travers ses représentants et ses institutions, est laïc, il n'en demeure pas moins que l'espace public et les individus ne le sont pas, à moins que cela ne porte atteinte à plusieurs libertés fondamentales et que notre République n'en soit plus une.

Une seule loi limite la liberté de l'expression vestimentaire dans l'espace public: il s'agit de la loi de 2010 portant sur la dissimulation du visage dans l'espace public, laquelle fut adoptée après de longues heures de débats sur la burqa, ce voile englobant la totalité du corps et du visage.

Dans son avis juridique, le Conseil d'Etat précise au gouvernement que l'interdiction de dissimuler son visage dans l'espace public ne se fonde pas sur la laïcité mais sur l'ordre public.

En dehors de cette limitation, la liberté de se vêtir retrouve toute son application. En conséquence le burkini ne peut pas être considéré comme une atteinte à la laïcité.

 

Une provocation?

Plusieurs acteurs publics n'ont pas hésité à soutenir que le burkini est en réalité une provocation de la part des femmes qui le portent.

Or, d'une première part, si le burkini est une provocation aux yeux de certains, cela n'empêche pas pour autant son existence.

L'espace public est le lieu privilégié de l'expression de la diversité et seule la loi de 2010 constitue une limite réelle à la liberté de se vêtir.

D'une seconde part, le burkini pourrait très bien relever d'une libre expression de sa liberté vestimentaire, cette dernière n'étant que l'accessoire de la liberté d'expression dans l'espace public.

Or, on oublie vite ce qu'on objectait aux musulmans mêmes qui contestaient les caricatures du Prophète de l'islam: la provocation est l'essence même de la liberté d'expression.

Le raisonnement est alors simple: quand bien même le burkini est une provocation, il relève de l'essence même de la liberté d'expression et l'argument de la provocation est inopérant en ce qui le concerne.

 

La comparaison avec l'Arabie Saoudite

D'aucuns prétendent que les musulmans qui défendent le port du burkini en France devraient lutter pour que le bikini, par exemple, soit admis en Arabie Saoudite.

Ils prouvent ainsi qu'ils ne connaissent pas vraiment le phénomène islamique mondial.

D'abord, comparer la France avec l'Arabie Saoudite, c'est mettre ces deux pays sur un pied d'égalité et estimer qu'ils peuvent être comparés.

Ce n'est pas le cas. Il est impossible de comparer une dictature et une démocratie. L'un est fermé aux notions de droits fondamentaux et l'autre les promeut. Les comparer, c'est aussi régresser intellectuellement.

Ensuite, comparer l'attitude des musulmans en France et celle qu'ils pourraient avoir en Arabie Saoudite, c'est mal connaître la composition de l'islam de France.

Rares sont les musulmans que nous croiserons qui soutiendront que "c'est chouette l'Arabie Saoudite".

Au contraire, les musulmans de France ne partagent absolument pas les politiques ou la vision de l'islam du Royaume des Saoud.Enfin, faire cette comparaison, c'est esquiver le débat français sur les libertés publiques et sur la place de l'islam en France.

Au fond, dire "allez en Arabie Saoudite voir si j'y suis", n'est pas une réponse à faire à des personnes, françaises, qui n'ont que faire de l'Arabie Saoudite et qui voudraient que la France soit un pays plus tolérant.

 

L'émanation du salafisme?

 

 

Le #Burkini reflète plutôt l'adaptation d'un usage "blédard", celui de se baigner habillée.

Les salafistes le rejètent, le jugeant impudique

— David Thomson  18 août 2016

 

Certains affirment que le burkini est l'habit du salafisme et la preuve de sa promotion en France.

Or, les salafis rejettent le burkini aux motifs que ce dernier est osé et quelque part déconseillé.

Les salafis souhaitent revenir au temps du Prophète et toute pratique qui s'en éloigne est considérée comme non-admissible.

En conséquence, le burkini ne peut pas représenter l'aspect vestimentaire (lui-même traduisant un aspect politique) de sa promotion.Bien au contraire, les femmes qui le portent le font par choix de modernité.

Cette position a été rappelée récemment par les spécialistes Olivier Roy et David Thomson.

Pour sortir de l'impasse du burkini et toutes les incompréhensions qu'il suscite, il convient en réalité d'être dans une information démonstrative et d'essayer de comprendre le phénomène plutôt que d'entrer dans une logique de condamnation et d'interdiction.

Les arrêtés pris par les maires ont en cela quelque chose d'insensé.

Pense-t-on réellement lutter contre l'intégrisme et la radicalisation en prônant des arrêtés qui donnent de quoi alimenter un discours radical pour Daech?

Surtout que Daech a décidé de se concentrer, faute d'assise militaire stable au Moyen-Orient, sur la déliquescence de l'Europe.

 

 

 

 

 

Rester  unis  et  modérés  semble  être  les  seuls  conseils  à  même  de  vaincre  nos  peurs  et  nos  ennemis  qui  sont  les  ennemis  des  libertés.

 

 

 

 http://www.msn.com/fr-ca/ actualites/france/pol%c3%a9mique-sur-le- burkini-letat-est-la%c3%afc-mais-les-individus-ne-le- sont-pas/ar-BBvUqgk?li=AAgh0dy&ocid=SK2MDHP

 

 

 


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#121 Re:

2016-08-22 19:13

#1: -  

 

nono

#122

2016-08-23 01:47

Bonjour d'Auvergne Au moins une région qui défend toujours sa terre , son identité ces ancêtres. De tout coeur avec vous ✊ Burka burkini chariat même combat.

myriam

#123

2016-08-25 04:22

Merci aux Corses d'avoir initié ce mouvement. Tous les bien pensants de la métropole nous ont obligés à nous taire au nom de l'islamophobie. Merci les Corses. Vous avez ENFIN libéré notre parole et obligé les politiques à se bouger .

 


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#124

2016-08-26 19:44

tombé dans le piege !!!!!! du genre pas d'amalgame !


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#125

2016-08-27 12:02

Je suis pas favorable à ce vêtement car il est provocateur, et connaissant les Corses et leurs sang chaud, ça risque de Peter