PRESSTALIS DOIT VIVRE ! POUR UN SERVICE PUBLIC DE LA DISTRIBUTION

dernier article Tramerouge

http://tramerouge.over-blog.com/

L'URGENCE, PRESSE !

Porté par la doctrine libérale, les patrons des grands groupes média ont durant vingt années destabilisé l’ensemble du secteur en sapant les idées fondatrices du CNR, portant sur l’indépendance 
des medias face aux puissances d’argent. Les cinq années du Sarkozysme ont constitué une étape clé d’accélération de la déréglementation.

[...]

Face à l’urgence sociale, il y a urgence à agir

Comme le demandent les SalariéEs et leurs organisations syndicales, l’Etat doit surseoir à l’exécution de l’ensemble des plans de licenciements annoncés et doit organiser au plus vite les rencontres nécessaires à la refondation démocratique du secteur des médias.

Dans les entreprises de presse, comme partout en France,
il est temps de tourner la page «Sarkozy».

7/10/2012

PRESTALIS-MLP : Les masques tombent !

LES MASQUES TOMBENT

"Alors que l'ARDP (autorité de régulation de la distribution de la presse) a rendu hier exécutoire la décision du CSMP (conseil supérieur de régulation de la presse) concernant la péréquation, les dirigeants des MLP ont décidé ce jeudi de déposer un recours contre cette décision auprès de la cour d'appel de Paris.

Il s'agissait de faire participer les MLP à la distribution des quotidiens, aujourd'hui assumée seule par Presstalis. Le CSMP avait demandé au cabinet Mazars une étude sur le sujet. Celui-ci a rendu son rapport fin juillet : il a estimé les surcoûts liés à la distribution des quotidiens (acheminement tous les jours, de nuit, etc.) à 26,1 millions d'euros, et proposé comme clé de répartition la part de marché de chacune des messageries. Ce qui conduirait les MLP à payer environ 7 millions d'euros par an."

La distribution des journaux coûte chère. Elle est la plus difficile car journalière, nocturne et de faibles quantités. Depuis la Libération, le système de péréquation permettait de faire vivre la liberté de la presse, les grands aidant les petit titres à être distribués.

Les masques tombent, les MLP "cheval de Troie" du libéralisme et de la déréglementation ont participé avec le soutien de puissants éditeurs à fragiliser le secteur et son opérateur historique Presstalis. Ils veulent aller au bout de leur logique de casse. L'Etat doit cesser d'aider ceux qui affichent un tel mépris pour le débat démocratique. Il en a les moyens. En appliquant par exemple une TVA différenciée selon le niveau d'engagement des acteurs de la filière dans les principes du service public.

A ceux qui rejettent les principes de la solidarité et refusent de considérer la presse autrement que comme une marchandise et outil de profitabilité, appliquons une TVA au taux de 20% et ramenons à 0%, celle des journaux qui oeuvrent pour enrichir le débat d'idées et préserver le pluralisme, outil de la démocratie.

Il y a urgence à réunir une table ronde pour sauver
la distribution des titres sur une base coopérative.

PRESSE, Anti-enfumage !

Dix-huit millions de Français lisent la presse sur le Web (+ 3,9 % sur un an) et sept millions d’entre eux le font sur mobiles et tablettes (+ 26 %), alors que 49,8 millions de personnes lisent un titre de presse papier chaque mois (+ 0,7 %), selon l’étude One d’Audipresse 2011-2012. Chaque jour, 69 % des Français de 15 ans et plus, soit 35,4 millions, lisent un titre de presse papier (+ 0,6 %).

plus de 2000 signataires

Aujourd'hui plus de 2000 signataires avec le PRESSTALIS

Alors que le tribunal se prononcera sur l'avenir de Presstalis

vendredi 5 octobre, que des "fuites" sont organisée dans les medias,

la mobilisation des salariéEs ne faiblit pas et la solidarité

que vous leurs témoigner non plus.

Nous sommes  2000 signataires de la pétition - Presstalis doit vivre! pour un service public de la distribution de la presse.

Renforçons encore notre soutien.

Le 10/10/2012

PRESSTALIS au tribunal, un nouveau délais est donné...

RESTONS MOBILISE !

PARIS, 01 oct 2012 (AFP) - Le tribunal de commerce se prononcera en fin de semaine sur le dossier Presstalis, le principal distributeur de journaux en France, en grande difficulté financière, a indiqué la société lundi.

La décision devrait intervenir vendredi, selon une source proche du dossier.

Le Tribunal de commerce devait se prononcer lundi sur une éventuelle prolongation de la mission de la mandataire ad hoc, nommée depuis novembre, ou décider de placer Presstalis en redressement judiciaire.

Or la direction de Presstalis, les actionnaires de la messagerie (la coopérative des éditeurs de quotidiens et celle des magazines) et les pouvoirs publics sont en discussion depuis plusieurs jours pour trouver une solution à la situation du distributeur.

Un protocole d'accord devrait être signé "dans les tout prochains jours", selon Presstalis. Pour cette raison, le président du tribunal de commerce a décidé qu'il fera "connaître, au vu de l'accord signé, sa position et se prononcera sur le renouvellement éventuel du mandat ad-hoc actuel" en fin de semaine.

L'heure reste à la mobilisation avec les PRESSTALIS.

Fraternité

lundi 1er octobre, les Presstalis au tribunal

Ils sont éluEs, responsables politiques ou syndicaux, professionelLEs de la presse, militantEs, citoyenNEs...
avec 1700 autres ils ont déjà signé la pétition pour la défense de Presstalis,
pour un service public de la distribution de la presse.

Ils seront symboliquement présents, ce lundi 1 octobre, au coté des salariéEs de Presstalis pour l'annonce de la décision du tribunal de commerce de Paris.

Fraternité

1 500 petitionnaires, avec les PRESSTALIS en lutte

Bonjour,

La barre des 1 500 petitionnaires est dépassée ce samedi.

L'actualité s'accélère, hier vendredi 28 septembre les salariéEs du siège

ont décidé, avec l'intersyndicale, d'arrêter le travail.

Ils refusent le plan "social" de la direction et ses 1000 suppressions d'emploi.

Lundi le tribunal de commerce doit statué sur la situation de Prestalis.

Plus que jamais, face à l'emfumage libéral auquel nous assistons et face

au déferlement anti-syndical (voir lexpress.fr) notre mobilisation est utile

et nécessaire pour que vive le débat sur les conditions a créer dans le

secteur de la distribution pour que puisse vivre le pluralisme, la démocratie,

dans notre république.

L'heure est à l'amplification de la mobilisation.

Dimanche 30 septembre à Paris, lors de la manifestation unitaire contre

le Traité européen d'austérité (TSCG), les pétitionnaires disponibles

distribueront la pétition aux manifestants.

Rendez-vous est donné à NATION à partir de 13 heures devant le café

le "Canon de la nation" pour se répartir les tracts.

Débattre, convaincre pour garantir le droit à l'information pour tous !

Nous avons écho que se préparaient différents rendez-vous de débat

sur la réalité et l'avenir de la distribution et aussi de solidarité

avec les salariéEs en lutte

Nous vous informerons des dates et lieux annoncées, ici même.

Fraternité

Petition PRESSTALIS

Nous sommes plus de 1200 à avoir déjà signé la pétition,

Presstalis doit vivre, pour un service public de distribution de la presse.

Nous devons poursuivre nos efforts pour la faire connaître

et contrer le lobbying des tenants de la déréglementation libérale.

Mais, il nous faut également envisager,  désormais, la suite de notre

mobilisation militante et citoyenne, avec les salariéEs et leurs syndicats.

Nous souhaitons vos avis et propositions. Nous vous tiendrons informé

rapidement des développements proposés.

Nous attendons vos emails sur tramerouge@gmail.com

Encore une fois, bravo à tous.

On lâche rien !

Bien fraternellement

Partager cette pétition

Aidez cette pétition à récolter plus de signatures.

Comment promouvoir une pétition ?

• Partagez la pétition sur votre mur Facebook et dans les groupes liés au sujet de votre pétition.
• Contactez vos amis
  1. Écrivez un message dans lequel vous expliquez pourquoi vous avez signé cette pétition, car les gens seront plus susceptibles de la signer s'ils comprennent l'importance du sujet.
  2. Copiez et collez l'adresse web de la pétition dans votre message.
  3. Envoyez le message par e-mail, SMS, Facebook, WhatsApp, Twitter, Skype, Instagram ou LinkedIn.