Contre la proposition d'ouvrir l'animation des stages de SSR aux TP ECSR

Commentaires

#201

Je ne suis pas d'accord.

Clarinda Montoya (Carcassonne , 2023-12-11)

#203

Cette mesure n’est pas bonne et nuierait fortement à l’image des stages de sensibilisation à la sécurité routière qui est déjà énormément écornée

Josiane BOISSY VETTER (Six Fours Les plages, 2023-12-11)

#204

Je signe parce que je soutiens mes collègues BAFM

Sarah AGHROUD (Nanteuil les Meaux , 2023-12-11)

#205

C'est actuellement difficile de trouver des enseignants de la conduite. Il y a également trop de bafm par rapport aux psy, ce serait ainsi deux professions qui seraient affectées très négativement

Martial Mourra (Alicante , 2023-12-11)

#221

Cette activité nécessite des compétences spécifiques dont les Psychologue, BAFM et FMESR disposent.
La formation des TP ECSR et l'expérience acquise en auto-école ne leurs permet pas automatiquement de pouvoir faire face à ce cadre particulier.

Xavier Papegaey (Haillicourt , 2023-12-11)

#222

Je signe parce que l'animation de ces stages requiert des compétences qui sont validées par des diplômes (psychologue et/ou Bafm ou equivalent) et donc des formations théoriques et des compétences psycho-pedagogiques bien plus complexes que le seul titre Pro ne propose. C'est mal connaître le public de stage et ses besoins pour proposer son encadrement à de simples "moniteurs". Sans dénigrement aucun, mais la gestion d'un groupe en détresse sociale, psychologique, professionnelle, en rupture sociale parfois, en lien aux addictions en tout genre etc etc.. nécessite de réelles compétences validées par un cursus théorique bien plus étoffé qu'un simple titre Pro. Nous parlons d'humain et de besoins d'aide et non de rendement et de renflouer des permis (représentation largement reprise par le grand public et dont nous détricotons l'image stage après stage, en espérant que la DSR et les acteurs de sécurité routière nous soutiennent par des mesures allant dans ce sens en renforçant la qualité plutôt que la quantité et le nivellement par le bas. Ouvrir l'animation à d'autres profils que ceux existant est un non sens total au regard des objectifs de stage, à savoir réfléchir sur ses choix de vie et son comportement au sens large (la route étant juste le revelateur de problématiques bien plus complexes que " je roule vite ou bourré") et non pas réciter des leçons de code ou manier un véhicule.

Yasmine Merceron (Bouée, 2023-12-11)

#231

A quoi servent les diplômes et les contenus des programmes ?

Alain Sueur (La Mézière , 2023-12-11)

#234

Depuis la mise en place des stages SSR, l'administration a souhaité confier l'animation à des personnes sensées avoir un niveau de compétence adapté au bon déroulement de cette mission (BAFM, BAFCRI (formés spécifiquement) et maintenant Titre à Finalisation professionnelle FMESR).
Un qualificatif d'expert SR leur a d'ailleurs été attribué en 2012 lors de la délivrance des premières autorisations d’animer.

De surcroît, depuis la mise en place de la seconde génération de stages, ceux-ci sont essentiellement orientés vers une réflexion proposée aux participants quant à un questionnement relatif à la mise en place et au maintien de comportements à risque.

Il est donc moins question de sensibilisation à la sécurité routière que de rapport à la loi, rapport à autrui, de réflexivité, de réflexions relatives à des conduites addictives ...
Ces thématiques ne rentrent pas dans le champ de compétences des enseignants de la conduite et de la sécurité routière.

Elles nécessitent un temps d’élaboration et le développement de compétences que nous n'observions que chez les titulaires d'un BAFM et demain avec les détenteurs du TFP FMESR.
Ces deux qualifications incluent dans leurs programmes de formation respectifs bon nombre de connaissances relatives à la dynamique des groupes restreints, des contenus de psychopédagogie là où les TP ECSR n’y sont qu’initiés.

L'accès donné aux enseignants de la conduite à l'animation des stages SSR constituerait alors une ubérisation de notre profession et une orientation plus "technique" de l'animation des stages SSR qui a déjà brillé par son inefficacité.

Dit autrement, si seul le fait de comprendre les déterminants qui ont conduit les pouvoirs publics à réglementer la conduite automobile puis d’accepter la sanction vis-à-vis des comportements à risque, alors le contenu du stage aurait été maintenu tel qu’il avait été prévu depuis les phases expérimentales en 1991.

Frédéric Maury (Saint Martin d'Ordon, 2023-12-11)

#235

Je signe parce que je refuse qu’on nivelle par le bas. Le permis est quelque chose d’important qui met des vies en jeu, il serait temps de considérer le sérieux de cette formation pour arriver à garder en vie l’être humain.

Patricia BAREY (Fontaines Saint Martin, 2023-12-11)

#238

Augmenter le vivier d'animateurs au détriment de la qualité et des compétences de ceux déjà formé n'a aucun sens.
Si des stages défectueux existent alors éliminons déjà ceux (centres et animateurs) qui ne respectent pas les règles.

Florianne Joly (Annequin, 2023-12-11)

#244

Je signe parceque je trouve ça aberrant. Parceque pédagogiquement ça ne tient pas la route, parcequ'il n'y a déjà pas assez de travail pour les BAFM, parceque la situation est déjà compliquée d'un point de vue économique et que ça n'arrangera probablement pas la situation, parceque notre diplôme sera encore un peu plus dévalorisé, et peut-être encore pour d'autres raisons si je partage sur le sujet avec mes collègues.
J'espère en tout cas qu'il est encore possible d'agir pour éviter cette modification du texte ... Les enseignants de la conduite pourront toujours s'orienter vers le FMESR s'ils veulent ensuite animer des stages !

Tiffany DINTRONE (Yvelines , 2023-12-11)

#245

Je suis totalement opposée à cette modification des textes.
L'animation des stages demande d'autres compétences que celles de la formation initiale au permis de conduire.
Ce serait remettre en cause la qualification nécessaire pour l'exercice de notre profession qui avait été définie et requise dès la création des stages de sensibilisation.
le manque de psychologues est possible dans quelques régions mais pas d' animateurs "Sécurité routière".

Dominique DEBEY (Arras, 2023-12-11)

#247

Je signe car je ne suis pas d’accord pour une dévalorisation de la fonction animateur des stages de sécurité routière.

Hubert Thelliez (Valenciennes , 2023-12-11)

#253

Les compétences acquises en formation BAFM ne sont pas les mêmes qu’en formation titre pro.
Un enseignant est dans un échange sur son savoir et apporte des solutions aux apprenants alors qu’un BAFM est sur une pratique réflexive permettant au futur enseignant d’adapter sa formation à l’apprenant . Un animateur de stage de sensibilisation à la sécurité routière a un rôle de d’initiateur de réflexion et non de donneur de solutions.

sophie Grenier (Lyon, 2023-12-11)

#258

L'animation des stages demande l'intégration de beaucoup de concepts/théorie du changement de comportement. Cela demande beaucoup de capacité de recul et d'expérience en animation.
Mais tellement qu'on ne peut pas le laisser gérer à la volée.

laurent dalbin (ozoir la ferriere, 2023-12-11)

#262

Je désire continuer à animer ces stages G2 qui nous permettent de proposer des outils de réflexion sur soi avec des collègues qui travaillent dans le même état d'esprit. La qualité m'importe beaucoup et de plus nos honoraires risquent de baisser encore au détriment de la motivation des animateurs.

Anne Marie Sitja (Saint jean pla de Corts, 2023-12-11)

#264

je signe pour que l'on cesse, et ce quelque soit le secteur, on cesse de tirer systéématiquement le niveau exigé vers le bas dans ce pays ...

Yvan Cordier (Lyon, 2023-12-11)

#265

Destruction de la qualité

Richard Gaugain (Saint-Georges-des-Sept-Voies, 2023-12-11)

#268

Je signe parce que notre métier est spécifique à notre formation, au diplôme requis, à notre savoir faire,et doit perdurer en temps que tel.

Pas en adéquation avec le TP SR

Laurence Guillem (Marguerittes , 2023-12-11)

#273

Les bafm et les TFP FMESR sont des enseignants particuliers qui ont développé des compétences méta cognitives conséquentes en poursuivant le travail initié en bepecaser et tp ecsr certes, mais en le dépassant, transcendant par des lectures nombreuses et une pratique réflexive.

Stéphanie Boudier (SAINT-PRIEST, 2023-12-11)

#277

Diversifier les actes professionnels dans les centres "auto-écoles" ne doit pas dispenser d'ajuster les formations aux compétences requises pour exercer l'animation des stages "permis à points". Or, un minimum définissait le Bafm comme adapté. Ne pas dévaluer ce niveau d'exigence ! Un nouveau BAFCRI ?

Daniel Tavernier (La Roche sur Yon, 2023-12-11)

#279

Animateur de stage est un métier bien différent de celui d'enseignant de la conduite

Cristelle Garans (Cadaujac , 2023-12-11)

#282

Je suis Enseignant de la conduite auto/moto. Je suis diplômé du TP ECSR et de la mention 2 roues. Les compétences acquises au cours de mes formations permettent d'assurer EN PARTIE, les stages PAP. Le FEMSR ou le BAFM sont nécessaires si l'on veut continuer d'offrir des prestations de qualité et sensibiliser le public.
Quelles sont vos enjeux?
Est ce que les économies financières, une masse plus importante d'intervenants moins formés seraient servir l'intérêt de la sécurité routière? (Surtout dans un climat sociétal qui se tend, où l'on constate tous les jours sur la route, des comportements contraventionnels et délictuels).
Je signe cette pétition.

Guillaume JEAN (Marguerittes, 2023-12-11)

#283

Sur le terrain il est déjà constaté un déséquilibre total entre les animateurs experts et les psychologues.
Quel est l’interêt d’ouvrir plus de postes pour un marché si fermé?

Sylviana GRANDISSON (97200, 2023-12-11)

#284

En formation actuellement à l inserr

Sonia Meleard (Saint Brieuc, 2023-12-11)

#295

Je signe ce document pas par pour la raison du manque d animateur, mais en tant que soutien auprès de mes collègues Bafm. Je suis psychologue et j ai CSSR et je pense que le niveau d exigence au titre de BAFM est complexe et ce seriat baffoue ce diplôme que d accepter que les titres pro puissent effectuer des stages. De plus le niveau d exigences du titre pro pose question….. (je fais partie d une formation et suis surpris de certains résultats alors que le niveau est bas sans trop de travail dans l année).
Y a t il un passage à l Inserr????

Nicolas KACKI (Mouilleron le Captif, 2023-12-11)

#296

Je pense que les personnes titulaires du titre professionnel non pas l’expérience ni les compétences des détenteurs du diplôme bafm qui est aujourd hui le seul diplôme et doit rester, selon moi, le seul brevet permettant de définir les experts en sécurité routière.
De plus le nombre de stagiaires n augmentant pas, le nombre d animateurs étant stable, je ne comprends pas l intérêt d accroître le nombre d animateurs par l intégration des titres professionnels hormis l envie de déstabiliser le marché déjà fragilisé des stages de sensibilisation.
C est bien de vouloir proposer de nouvelles ouvertures aux titres professionnels, donnez leur la possibilité de sensibiliser en entreprises, puisque la prevention du risque routier est obligatoire. Proposez des les former au document unique pour qu ils puissent répondre favorablement aux entreprises. Il y a de nombreux autres débouchés pour le titre professionnel alors pourquoi les mettre en concurrence avec des bafm qui ont une toute offre formation, bien plus complète et tournée vers le changement de comportement, pas l apprentissage.

Valerie Miege (Herblay, 2023-12-11)

#299

Comme souvent, une mauvaise solution est apportée à un vrai problème. Les solutions existent déjà mais ne sont pas appliquées. Le nombre d’annulation de stage est effectivement plus lié à une sur programmation qu’à un manque d’animateurs. Et ce n’est que l’une des aberrations de cette proposition.

Ludovic Pratili (Bergerac, 2023-12-11)

#301

C est nier les compétences nécessaires à l'animation des stages et tirer vers la médiocrité cette délégation de service publique

Tiphène de Benque d Agut (Auxerre, 2023-12-11)

#302

Il faudrait arrêter de faire croire que tout le monde peux tout faire.
Des thérapeutes sans diplômes et sans déontologie et sans contrainte de l état
Des obèses champions de karaté sans abdominaux
Des politiques sans travail.....
Bref vendez les points sur l ants ou L I.A ça ira plus vite et vous pourrez augmenter la répression rentable par drones.
Bien à vous la macronie

Nicolas Debeugny (Lisieux , 2023-12-11)

#305

On en a marre des dérives du a se genre de decisions

samir Sid (Saint-etienne, 2023-12-11)

#308

Je suis en en désaccord
A quand les psys ?

Valérie Nadel Nadel (bordeaux , 2023-12-11)

#309

Ce type de formation nécessite des compétences spécifiques maîtrisées par les BAFM et les Psychologue.

Frédéric QUERAUD (ST-VICTURNIEN, 2023-12-11)

#310

Non à une baisse vertigineuse du niveau des animateurs, alors qu'il peine déjà à être ce qu'il devrait être.

Olivier BATTEUX (REIMS, 2023-12-11)

#311

Parce que j'ai pu examiner des TP ECSR. Le niveau n'est (absolument) pas celui des coanimateurs BAFM avec lesquels je travaille.
Je suis psychologue ET enseignante de la Conduite, cette mesure me permettrait de travailler avec la double casquette et pourtant, je suis contre cette proposition.

Marlène Mathiot (Herblay , 2023-12-11)

#313

Le niveau de compétence des enseignants de la conduite est tout à fait insuffisant pour animer les stages. Animer, mener une réflexion vers le changement sans vouloir convaincre ou imposer, sans enseigner demande un recul, une hauteur de vue, des connaissances théoriques que n'ont pas les enseignants. Et à quoi sert le niveau actuel très exigeant et selectif des BAFM ?...
Les personnes qui pensent à cette évolution ne mesurent absolument pas le travail que cela représente sur le terrain.

Chantal Darodes de Tailly (Reims , 2023-12-11)

#314

Cette proposition est une aberration...entre autres !
Le nivellement par le bas des prix de vente des stages est également une aberration..
On ne marche ni dans le même sens ni dans le bon sens..

Quelle intention se cache derrière la modification de l'autorisation d'animer et l'ajout du diplôme du titre professionnel d’enseignant de la conduite et de la sécurité routière ?
Quels sont les objectifs ?

On parle beaucoup de Compétences dans la formation du conducteur, il serait temps de reconnaitre et de valoriser celles des BAFM et des futurs TP FMSER..

Florence MONNIER (BORDEAUX, 2023-12-11)

#323

Je défend mes collègues BAFM !

Thierry Brard (Villers Bocage , 2023-12-11)

#329

Je signe parce que je veux maintenir un niveau pédagogique et intellectuel minimum pour les participants

Richard Pudlo (Paris , 2023-12-11)

#330

Je ne suis pas d'accord avec l'idée d'ajouter le diplôme du titre professionnel d’enseignant de la conduite et de la sécurité routière dans l'Annexe 1 de l'arrêté du 26 Juin 2012.

Leila PIRALI (ISTRES, 2023-12-11)

#331

Notre profession est une profession à part entière qui requière des compétences réelles ainsi que de l'expérience. Le niveau de compétences attendues pour obtenir un Tp ecsr, n'y correspond pas. Et la pratique sur le terrain n'est pas non plus favorable à la prise d'expérience (puisque l'activité de la très large majorité des enseignants de la conduite se résume à une relation pédagogique individuelle, basée bien plus sur les savoirs et les savoirs-faire que sur les savoirs être ou savoirs devenir ou encore que sur le développement des CPS).

Blandine MARTIN (St Martin d'Ordon, 2023-12-11)

#337

On ne peut pas avoir l’ambition de programmes de stages très élaborés nécessitant de grandes compétences pour l’animation, et en même temps recruter des animateurs de moindre compétence au vu de leur cursus de formation très insuffisant.

Michel Argent (Palau del Vidre, 2023-12-11)

#345

Pour preserver la qualite de l’animation et le niveau de qualification de la profession.

Tom Soustelle (Lunel, 2023-12-11)

#350

La fonction d'animateur des stages PaP nécessite des compétences qu'à ce jour les titulaires du titre pro ne disposent pas. Leur programme de formation initiale, que je connais bien pour en avoir rédigé des supports auprès de la maison d'édition EDISER-ENPC, s'est trouvé dans les faits malheureusement dénaturé. Et leurs activités pédagogiques de terrain ne leur permettent pas en l'état d'acquérir par expérience ces capacités spécifiques. Laisser ces enseignants postuler à ces fonctions, c'est dans la continuité des évolutions professionnelles de ces dernières années, laisser se dégrader la crédibilité du secteur.

jean-yves UZUREAU (BORDEAUX, 2023-12-12)

#355

Baisse du niveau d’exigence

Gérard PAYOUX (Nantes , 2023-12-12)

#362

l'intervention de certains BAFCRI est déjà problématique au regard des stages 2ème génération.
Il est nécessaire d'avoir des animateurs pertinents avec des connaissances multiples et une capacité d'analyse et d'intervention importante.

isabelle hoguet (Monchy Cayeux, 2023-12-12)

#372

On ne peut pas laisser animer des stages de sensibilisation à la sécurité routière à des personnes qui n'ont aucune compétence en matière de biomécanique bio physique, droit.
Je rappelle que les animateurs BAFM sont formateurs de formateurs.
On ne peut absolument pas mettre tous les œufs dans le même panier.

Nicolas Rozes (St abit, 2023-12-12)

#374

Les épreuves du CCP 2 ne garantissent pas le niveau pour animer un stage de sensibilisation.
Avant de proposer une telle mesure, modifier les conditions de formation et d'examen au CCP 2

JEAN CHANOIS (Albas, 2023-12-12)

#378

La dégradation d'une vraie politique pour une sécurité routière efficace me met très en colère

alain chauveau (saint etienne, 2023-12-12)

#386

Je pense que les enseignants de la conduite n’ont pas les compétences nécessaires dans leur formation pour animer les stages de sensibilisation.

Didier Masson (Marseille, 2023-12-12)

#388

Je signe parce qu il y a un nombre de stages, et de formateurs suffisants par rapport aux nombres de stagiaires qui lu, i est constant depuis des années. Ouvrir les vannes aux enseignants de la route, C est permettre aux organisateurs de baisser le tarif de l animation car l offre d animateurs va être supérieure aux besoins, C est une dégradation des conditions de travail à venir

Carole Bruandet (Longvic, 2023-12-12)

#391

Les compétences préalables exigées dépassent celles d'un enseignant de la conduite.

Dominique Eykens (Charnas, 2023-12-12)



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