Contre la proposition d'ouvrir l'animation des stages de SSR aux TP ECSR

Commentaires

#13

STOP AUX INEPTIES

Nathalie Martinat (Amplepuis, 2023-12-10)

#15

Je suis totalement opposée à cette proposition

Nathalie COIRIER (Andouille Neuville, 2023-12-10)

#17

Cela va entrainer une paupérisation de la profession au profit d'une minorité de décideurs et ce, sans règler aucunement les problèmes évoqués.

Gilles ROBERT (BARBENTANE, 2023-12-10)

#19

Je signe parce que les compétences développées en TP ECSR ne me semblent pas suffisantes à l'animation d'un stage de sensibilisation à la sécurité routière. Il ne s'agirait pas de confondre TP ECSER et TP FMECSR...

Laetitia Delbos (Caen, 2023-12-10)

#21

Les TP ECSR n ont pas les competences pour devenir animateur du permis à points . L unique action de Sécurité Routière qu ils préparent lors de leur formation , aidés par les BAFM , ne leur permettent que d expérimenter l animation. Ils sont loin de maîtriser toutes les techniques ...

Emilie Toutain (La Frenaye , 2023-12-10)

#24

Ce n'est pas la place des moniteurs qui par aileurs ont largement de quoi diversifier mes activités pré et post permis auprès de différents publics tels que les très jeunes les seniors les personnes en situation de handicap. ...etc

Philippe Karpati (La charité sur Loire, 2023-12-10)

#27

J'estime que les TPECSR n'ont ni les compétences ni l'expérience nécessaires pour animer les stages SSR qui sont toujours destinés à un public particulier. Il est nécessaire d'avoir une formation particulière afin d'animer au mieux ce type de stage

Aurelie Joly (Ugine , 2023-12-10)

#33

Je pense que c’est une activité qui demande de grandes compétences initiales que n’ont pas les moniteurs sinon ils iraient passe le bafm, qu’il faut savoir gérer un groupe de 20 personnes avec agressivité ce que n’apprennent pas les moniteurs (ils font du un pour un et rares sont ceux qui font des COURS de code) et qu’il y a assez d’animateurs pour le nombre de stage

Laure Chak (Pertuis, 2023-12-10)

#34

Les annulations de stages sont du a un manque de stagiaires du en partie à une baisse des contrôles routiers. Cette baisse du nombre.de contrôle se traduit par une augmentation du nombre de tués sur la route. Augmenter les nombre d'animateurs ne réglera pas le problème.

Francois Marin (Rouen, 2023-12-10)

#37

Parceque tout simplement nos collègue animateur BAFM ont sacrifié endorment pour évoluer professionnellement. Alors que l'ouverture aux titre pro permettra à beaucoup d'y accéder sans aucun sacrifices. Cela me paraît injuste.

Mohamed Amara (Croix, 2023-12-10)

#41

Les TP ECSR ne possedent les pre-requis nécessaires à l animation des stages PAP. Je fais partie de ceux qui les forment, je sais de quoi je parle.

Christelle Louis (La Forteresse , 2023-12-10)

#43

Formant des ECSR, je sais qu'il n'ont pas les compétences ni le recul nécessaires

Karine Lefebvre (Tremeven, 2023-12-10)

#47

Je suis BAFM, les titres pro ECSR (pour en avoir formé) n’on clairement pas les compétences pour animer ces stages. Si pénurie il y a, cela serait plutôt du côté des psychologues.
Les personnes qui viennent en stage ne sont qu’une minorité de conducteurs. 3 pays en Europe seulement organisent ces stages. Le but de la sensibilisation n’est pas de vendre des points mais bien de faire en sorte que les stagiaires ne reviennent plus suite à une modification de leur comportement.
Je ne pense pas qu’il faille les multiplier dans le but d’une consommation de masse de ces stages.

Philippe Ederle (Phalsbourg, 2023-12-10)

#53

Je ne suis pas du tout d’accord avec l’idée qu’un titre pro ECSR puisse animer soit disant pour élargir le « vivier » qui n’a pas besoin de l’être.

Laurence Abraham (Augy, 2023-12-10)

#57

C’est hallucinant de bêtise qu’une telle idée ait pu être présentée et soit soutenue, sauf bien sûr pour les gros centres…

Didier Carré (Le Montcel , 2023-12-10)

#58

Je signe parce que l'argument : "cette modification
permettrait d’élargir le vivier des animateurs et de faire évoluer professionnellement les
enseignants de la conduite qui désirent aller vers l’éducation routière post-permis » me paraît absurde, les tp ecsr sont formés dans le cadre du ccp2 à construire et à animer des actions de sensibilisation à la sécurité routière pour tous les types d'usagers de la route, de la maternelle à l'ephad, si ce n'était pas la police municipale qui était envoyé dans les écoles primaires ou dans les collèges faire passer l'aper ou les assr 1 et 2 ils pourraient sensibiliser et éduquer à la sécurité routière à leur niveau, la plupart des enseignants se contentent de travailler en tant qu'enseignant dans une auto école et ne cherchent pas à développer leurs activités, ne démarchent pas des entreprises pour sensibiliser les salariés ou autres usagers de la route. En ce qui concerne les stages de sensibilisation à la sécurité routière pour conducteurs infractionistes, nous sommes à un autre niveau de sensibilisation qui relève de la compétence des bafm puisqu'ils ont été formé à de la pédago psychologie, sinon à quoi sert ce diplôme ???

Katia Gudiel (Saint vaast en chaussée, 2023-12-10)

#63

Nous sommes déjà suffisamment nombreux dans un marché saturé et en recul … de plus si un « simple » enseignant de la conduite peut accéder à la formation pour les stages cela va tirer assurément la qualité des formations vers le bas.

Hélène Caron (Haguenau , 2023-12-10)

#73

Cette mesure ne correspond aucunement à un besoin actuel. Il existe a l'heure actuel non pas un manque d'animateurs de stages pap mais un manque de moniteurs d'auto école . D'autres part cette mission avec un public particulier doit continuer d'être assurée par un binôme de compétences élevées en pédagogie et comportements humains. Cette mesure ne peut que contribuer à appauvrir et fragiliser un secteur déjà grandement fragilisé par la déréglementation des dernières années.

Jeremy Pageault (Bron, 2023-12-10)

#77

Cette formation nécessite des compétences que n'ont pas les moniteurs d'auto-école

Kévin PALIERNE (BRON, 2023-12-10)

#79

Important de garder une animation de stage avec des BAFM - regards et connaissances indispensables pour donner un sens aux stages

Marie Courand (Aix les bains , 2023-12-10)

#94

Le niveau d'exigence pour animer est largement supérieur. Les tp ecsr ne sont pas formés pour ce type de d'exercice. Ce n'est pas un ccp2 obtenu par correspondance, ou en ligne qui va permettre d'obtenir une telle compétence.

Paul Perez (Chambéry , 2023-12-10)

#96

Je signe parce que je trouve ça aberrant et scandaleux !!! Vraiment notre bonne veille France se dégrade n importe qui peut faire importe Quoi ! Aucun respect pour les personnes qui ont bossé dur pour arriver là où elles sont . Arrêtez de dévaloriser le diplôme et le métier honte à vous .

Brahim Bellal (Amiens , 2023-12-10)

#97

Enseignant de la Conduite ET de la Sécurité Routière, voici leur appellation officielle, or leur profession véhicule une représentation sociale de vendeur de permis et des "formateurs" dédiés à uniquement à l'examen du permis.
Les ECSR ne possèdent pas les compétences à l'animation des stages de sensibilisation :
. Connaissances statistiques, formulations officielles et exactitudes des articles du code de la route, accidentologie, données psycho-physiologiques
.Le savoir-faire n'est pas une compétence essentielle à transmettre en stage car les infractions ne sont pas dues à un manque de maîtrise des véhicules.
.Concernant le savoir-être, pour garder la vision que les stages sont des stages de sensibilisation et non de récupération de points, nous ne pouvons accepter des ECSR avec une posture de vendeur de permis.
Si c'est derniers souhaitent évoluer dans la sensibilisation et l'animation, ils peuvent passer le FMSER.
Leur diplôme et leurs pratiques sur le terrain ne leur conçoivent pas les aptitudes nécessaires.

Francois Buns (Lille, 2023-12-10)

#105

Animer un stage de sensibilisation à la sécurité routière nécessite des compétences qu'on obtient à travers un apprentissage pointilleux et de l'expérience.
De plus, pour sensibiliser des conducteurs infractionnistes et parfois récidivistes, il faut que l'animateur ait des valeurs qui soient très proches de celles de la sécurité routière. L'animateur sensibilise non pas seulement avec ses connaissances, mais surtout avec son savoir-être. Cela lui donne une énergie de la crédibilité.
Sans dire que les personnes qui passent le titre pro Ecsr sont loin de ces valeurs, le diplôme du Bafm peut être considéré comme un "label" qui garantit d'une certaine manière cette affiliation aux valeurs de la sécurité routière.
En effet, étant un examen difficile à obtenir, uniquement les personnes convaincues des valeurs de la sécurité routières vont jusqu'au bout de la démarche et consacrent des années de formation, d'apprentissage, de sacrifice et de persévérance.
Surtout qu'avant d'animer ces stages, nous avons étés, nous bafm, déjà enseignant de la conduite. Nous avons suffisamment de recul aujourd'hui pour dire qu'on n'aurait pas pu animer ce genre de stage en tant qu'enseignant de la conduite. La tâche aurait être trop élevé et subtile pour sensibiliser comme on nous le demande.
Est-ce qu'il demanderait à un prof de collège de former des étudiants à l'université ?
Est ce qu'on demanderait à une aide soignante de prendre en charge des patients comme un médecin ?
Est ce qu'on demanderait à des agents chargés de la circulation s'occuper de mission de la B.A.C.?

Laisser animer ces stages aux titres pro ecsr serait dégradant pour la profession et plus largement pour la sécurité routière.

De plus, la co animation de ces stages se fait avec des psychologues formés en bac+5. Il est impératif de protéger ce binôme Bafm - psychologue où les compétences requises sont nombreuses. On est au même niveau et ceci va dans le sens de la co-animation harmonieuse en terme de place de chacun.
Mettre un Titre pro eEcsr face à un psychologue va créer des difficultés en terme de place de chacun et en répercution cela va forcément impacter la qualité des stages.

Ce qu'il faudrait au contraire, c'est renforcer la qualité de ces stages. Ceci peut passer notamment par le fait de développer plus de contrôle de ces stages et retirer l'agrément d'organiser voire d'animer ces stages pour tout centre ou toutes personnes qui sortiraient du cadre imposé en terme de programme et de méthode pédagogique. C'est un métier avec beaucoup d'exigence. Continuons à élever cela.

De plus, les stagiaires seront de moins en moins , nul besoin d'augmenter l'effectif des animateurs. Surtout que c'est en rendant rare les choses que cela devient précieux. Rentrer dans des arguments où il faudrait augmenter les effectifs d'animateurs pour le besoin du marché font croire que cette activité devrait être comme tout autre : un bien de consommation en abondance. Cela pourrait faire croire au conducteur infractionnistes que perdre des points n'est pas très important car ils peuvent en récupérer facilement. Où est le sens de ces stages où on veut au contraire diminuer le nombre d'infraction ?

Hervé Lahcen Khettab (Meaux, 2023-12-10)

#106

C’est ridicule, c’est souvent plus difficile de trouver des psychologues que des experts en sécurité routière.
Je forme des TP ECSR, et c’est pour moi évident que les compétences acquises dans cette formation ne sont pas suffisantes pour aller directement vers l’animation de stage SSR.
Cette reforme déréglerait trop le marché, tirant la qualité, le marché et les conditions de travail vers le bas.
Je suis animateur depuis 7 ans, gérant d’un CSSR depuis 3 ans, et adhérent à l’organisation professionnelle « mobilians » (que je quitterai probablement si la position de l’OP est favorable à cette reforme).

Romain LEGER (Évreux , 2023-12-10)

#117

Ce projet est en contradiction totale avec le programme officiel de ces stages qui met en avant l'importance à travailler des paramètres bien au-delà de la conduite mais déterminants dans sa pratique.

Edwige Troncin (DIJON, 2023-12-10)

#118

Je trouve que cette proposition est une aberration! On tire la profession vers le bas!

Aurelie Monforte (Pessac, 2023-12-10)

#122

Je m'oppose à cette proposition

Thierry Durand (Brignais , 2023-12-10)

#124

Les TP ne sont pas préparés à ces animations....

Laurent STONA (Notre Dame d'Oé , 2023-12-10)

#130

Je trouve inadmissible cette décision.
Cela montre encore une fois toute la reconnaissance que nous avons en tant que BAFM.
Permettre aux enseignants d’évoluer vers la formation post-permis? Euh…. Les stages deviennent de la formation continue?! Les enseignants peuvent évoluer avec de la formation en entreprise etc….
Bref!!

christine goncalves (Montesson, 2023-12-10)

#131

S’il s’agit réellement de permettre aux TPECSR d’évoluer professionnellement, il existe déjà un diplôme qui s’appelle TPFMSER et qui autorise cette évolution. En revanche, ouvrir les stage de sensibilisation aux TPECSR, c’est enlever aux TPFMSER et BAFM une possibilité d’évoluer dans leur domaine de compétence. Ils SONT formés pour gérer le public accueilli en stage, cela fait partie de leur expertise. Les enseignants de la conduite, sans vouloir aucunement les stigmatiser car ils font un travail remarquable et difficiles pour former les futurs conducteurs, n’ont pas les compétences et les connaissances indispensables pour accompagner les participants des stages de sensibilisation dans un processus de changement.
Qu’il y ait une réflexion sur l’évolution des stages est une bonne chose, je crois que toute la profession est en attente. Mais qu’au moins la DSR ait la décence de nous consulter, nous’ animateurs, acteurs de terrain, en première ligne depuis 1992 pour percevoir et comprendre les problématiques de la profession.
Quand s’arrêtera donc ce mépris?

Marie-Dominique Mahimon (Marseille, 2023-12-10)

#132

Je signe car pour connaître le métier d’enseignant et d’animateur, il va de soit que le travail n’est évidemment pas le même, tant sur celui de la posture que des compétences.
La validation de l’acte d’animer par des gens qualifiés avec le plus haut diplôme connu en expertise routière semble un minimum vis à vis des publics visés (droit, psycho pédagogie, mesures physiques, outils psychos, bases en addictologie,….).
Le titre professionnel est loin de mener les apprenants à ces compétences.
Ce serait une folie…

Michael Courtens (Floirac, 2023-12-10)

#136

Formatrice en TP ECSR, je constate que les compétences de ce titre sont insuffisantes à la co-animation des stages de sensibilisation et à l'accompagnement du public dont les problématiques vont au-delà de la conduite. La profession manque d'enseignants en voiture. Le TP ECSR est sans doute à repenser avec un tronc commun et un CCP1 plus fournis (sans doute plutôt en niveau 4), et un CCP2 (qui peut devenir un CCS), permettant de former en sécurité routière en entreprise/ associations/ milieu scolaire, sans ingénierie pédagogique, trop complexe. Les validations de titre ont besoin d'être mieux encadrées, avec un niveau d'exigence mieux défini et des jurys mieux formés au titre. Les conditions d'accès et les modalités d'évaluation et les conditions de validation sont largement discutables.
La formation, l'examen du BAFM et les activités liées au diplôme présentent une exigence, un investissement, un travail continu de maintien des acquis qui n'ont pas grand chose à voir avec la formation et le métier d'enseignant. Il est d'ailleurs incongru que le TfP FMESR soit en niveau 4 et non en niveau 5 dans son enregistrement RNCP (à se demander si les organisations professionnelles n'ont pas anticipé le bazar actuel). Il est à espérer que le niveau d'exigence du BAFM soit bien le même en TfP FMESR.
Quant aux SSSR, les annulations sont liées à une trop importante programmation des grands centres pour un nombre de stagiaires qui décroît régulièrement. Ce n'est pas d'aujourd'hui que les stages en campagne ne peuvent pas se maintenir faute de stagiaires (des villes de la taille de Chaumont par exemple peinent à maintenir les stages faute de participants). Augmenter le nombre d'animateurs ne permettra pas de tenir ces stages qui n'ont pas assez de "clients".
Les organismes de stage qui peinent à recruter des animateurs peuvent par contre réfléchir aux conditions de travail qu'ils proposent.
Si les TP ECSR souhaitent évoluer professionnellement, ils peuvent aller en direction des 2 CCS et du TfP FMESR.

Céline Macle (Quingey, 2023-12-10)

#141

Je soutiens la qualité professionnelle des intervenants actuels qui ont eux, par leurs compétences, toutes les qualités pour sensibiliser les conducteurs à une conduite respectueuse

Jean Jacques REUILLON (BLÉRÉ , 2023-12-10)

#142

Je signe parce qu'il n'y a aucune raison "d'augmenter le vivier" d'animateurs expert en sécurité routière! Dans le Sud Ouest, bien des stages sont annulés par manque de stagiaires. Il y a déjà trop d'offres par rapport à la demande, entraînant des reports ou des annulations, ainsi que des conditions d'accueil qui se dégradent pour les stagiaires, les prix étant tirés vers le bas. De ce fait, certains CSSR peinent, et les animateurs aussi bien entendu...
Augmenter le nombre d'animateurs alors que celui des stagiaires baissent, ne ferait qu'accélérer ce déséquilibre, et personne n'en sortirait gagnant!

Annick Salle-Canne (Arné , 2023-12-10)

#147

Les titres pros, pour les former, ne sont pas du tout opérationnels pour animer avec pertinence des stages PAP, ni co-animer avec homogénéité avec un ou une psychologue.

Denis Dugué (Albi , 2023-12-10)

#157

Je signe parce que je suis psychologue animateur de stage de sensibilisation à la sécurité routière et je ne veux pas travailler en binôme avec des personnes qui n’ont pas suivi une formation spécifique leur permettant d’avoir des connaissances et des compétences dans l’accompagnement d’un groupe. Être formateur n’est pas la même chose qu’être formateur de formateur. C’est comme si on demandait à un licencié en psychologie de faire le travail d’un psychologue diplômé par son master.

Thierry Blondeau (Gand, 2023-12-10)

#164

Ayant formé des nombreux TP ECSR, la plupart n'atteignent pas le niveau requis pour valider les compétences de leur propre diplôme. Tant sur le plan des connaissances des compétences et surtout du savoir être et de la posture professionnelle. Les conditions d'accès à la formation ainsi que les modalités d'évaluation sont largement discutables.
L' animation des stages SSR est un exercice difficile. Le TP ECSR ne donne pas, selon moi les garanties nécessaire à un niveau minimum pour suivre la formation initiale des animateurs de stages SSR.

Jerome Casanova (Montpellier , 2023-12-10)

#166

C'est un travail de bafm

Sylvie Ketterer (Remire-Montjoly , 2023-12-10)

#167

Le niveau des tpecsr est très faible à cause des « usines » à moniteurs

Jerome Fernandez (Jouy sous thelle, 2023-12-11)

#169

Je signe parce que je ne pense pas que les moniteurs d’auto école soient formés pour faire de la pédagogie de la même manière qu’un BAFM et donc pas dans la même dynamique pour animer les stages de sensibilisation à la sécurité routière.

Nathalie Gueneau (Perrigny sur l’Ognon , 2023-12-11)

#173

Je signe parce que de ce que j ai pu voir en jury titre pro la faiblesse du niveau ne permettra pas à la majorité de maîtriser les concepts présents dans la G2

Julien Bruneau (Veigné , 2023-12-11)

#183

Je signe car j’estime que l’urgence est l’encadrement de la politique tarifaire des plateformes. ( 80 à 100 € de commission par stagiaires). Concernant cette proposition, un enseignant de la conduite et de la sécurité routière est formé pour transmettre un savoir et savoir faire. ( très peu de savoir être).
Mais les contrevenants ou les délinquants de la route, ( consommateurs satisfaits) connaissent les règles du code de la route et le maniement du véhicule. La posture d’animateur pour ma part est totalement différente. Amener un stagiaire à une réflexivité et enseigner la conduite automobile sont deux compétences différentes. C’est factuel.

Raby Laouar (Bordeaux, 2023-12-11)

#187

Je suis BAFM et animatrice

Fanny Daguenet (Nimes, 2023-12-11)

#195

Bien que retraité de cette profession je considère que ce serait un nivellement par le bas. L’exemple des examens du code par des entreprises privées en est un bon exemple.

Guy Brenet (33, 2023-12-11)

#196

Cette mesure n'a aucun sens.

Pour avoir formé une centaine d'enseignants de la conduite et de la sécurité routière, j'estime qu'ils n'ont pas les compétences nécessaires pour animer les stages de sensibilisation a la sécurité routière.

Cordialement

Farid Cheurfa (Tremblay en france, 2023-12-11)

#197

Ce métier nécessite des compétences que les moniteurs d auto écoles n ont pas.

Julie TISSOT (La talaudiere , 2023-12-11)



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