NON À LA CESSION DE NOTRE BATÎMENT DE BRUXELLES AUX OLANGI

La Fondation Olangi Wosho, FOW en sigle, est une institution internationale dont le siège se trouve à Kinshasa en RD Congo.

Elle exerce beaucoup d'activités dont la plus importante est celle liée à sa branche spirituelle dénommée "Ministère du Combat Sprituel", lequel se voue à la prière et à la délivrance du peuple de Dieu. Ce qui a permis son expansion dans le monde où elle compte beaucoup de sièges dont celui de Bruxelles initié premièrement par Mr. Amos David Musula en 1997.

Mais depuis le décès du couple fondateur Olangi, les scandales se suivent et ne se comptent plus. On parle d'un changement de vision avec le nouveau leadership tenu par ses propres enfants.

En effet, après les incompréhensions et le tumultes qui règnent encore en République du Congo Brazzaville où tous les sièges sont fermés et récemment au Lesotho. C'est au tour du siège de Bruxelles en Belgique de subir la vague de menaces de la part du nouveau staff de ladite fondation au départ de Kinshasa.

Celui-ci est taxé tantôt de siège rebelle, tantôt de non coopérant et les soi-disant infractions se multiplient inexorablement à chaque occasion.

Pourtant, du vivant du couple fondateur, ce même siège de Bruxelles fut un modèle. Il était jadis recommandé à tout le monde de suivre son exemple parce que très bien organisé mais surtout, le seul à avoir conquis par cet acte les cœurs de leurs parents spirituels, le couple Olangi.

Tenez ! En 2005, après avoir erré ça et là, nous, fidèles de Bruxelles avions décidé sous le leadership de notre berger Amos David Musula d'acheter et de reconstruire le bâtiment sis rue de Birmingham 222 à Anderlecht, que nous avions transformé en lieu de culte de prières et de réunions publiques. Un bien public au service de tous.

Encore de bonne foi et à cause de note affiliation doctrinaire, avions décidé d'enregistrer cet immeuble que nous les membres du siège de bruxelles avons acheté avec nos contrinutions au nom de la fondation, cette institution d'utilité publique dont le siège est à Kinshasa en RD Congo afin de servir de cadre aux activités de la branche de Bruxelles dont nous sommes membres.

Et voilà, pour des raisons fallacieuses contraires à la vision initiale du ministère du combat spirituel et de son règlement d'ordre intérieur dans son article 24 qui stipule : « Tous les biens, meubles, immeubles enregistrés au nom de la fondation ne peuvent être soustraits par qui que ce soit, ni pour quelque raison que ce soit. Toute désaffectation, pour quelque raison que ce soit doit être proposée par la coordination du siège local et décidée par le conseil d'administration » et en conformité avec la loi congolaise N° 004/2001 du 20 juillet portant dispositions générales applicables aux associations sans but lucratif et aux établissements d'utilité publique, constatons que les administrateurs de la dite fondation tous, enfants du couple fondateurs s'évertuent à tout changer bafouant ainsi le principe de base tant prôné par ces derniers, celui de "l'autonomie des sièges".

Nous voyons donc que les lois et les règlements censés nous gérer sont mis en mal par la nouvelle administration.

Signalons également qu'en son temps, les sièges extérieurs étaient tenus au respect de la clause de partenariat, une sorte de franchising décidé et encouragé par les fondateurs.

Mais à présent, nous assistons à une nouvelle approche autocratique teintée de diktat que la plupart de sièges extérieurs réfutent. Ces nouveaux administrateurs veulent s'ériger en gestionnaires des sièges sans en avoir ni le droit, ni les compétences. C'est ce qui heurte les sensibilités.

Un questionnement s'impose à l'esprit: pourquoi ce revirement seulement après le décès des parents? Les nouveaux administrateurs ont-ils amélioré les conditions de travail des sièges? Y a-t-il un investissement envisagé de la part du siège international? S'agit-il d'une restructuration?

A toutes ces questions nous répondons par la négation et rien d'officiel n'est signalé. Bien au contraire, nous assistons au dépouillement  et à la vente des biens meubles et immeubles de la fondation comme ce fut le cas du siège de Jobourg en Afrique du Sud. Un siège jadis prospère, qui se meurt.

Pourquoi alors cet acharnement sur le siège de Bruxelles maintenant? A qui profiterait donc cette crise qui s'annonce fatale?

En Belgique, un Bien d'utilité publique ne peut-être aliéné sans l'accord des administrateurs appuyé par un procès-verbal de l'assemblée générale qui en a au préalable jugé la nécessité.

C'est pour cette raison donc, que nous, membre du ministère du combat spirituel de Bruxelles et signataires de cette pétition, refusons d'aliéner ou de faire aliéner notre immeuble sis rue de Birmingham 222 à Anderlecht et nos meubles pour quelque raison que ce soit par des tiers.

Voulons barrer de toutes nos forces, toute velléité d'où qu'elle vienne afin de protéger nos biens et réclamons l'autonomie de notre siège tel que décriée et souhaitée par nos parents d'heureuse mémoire.

Ainsi fait à Bruxelles , le 13/10/2023

Les membres du siège de Bruxelles

 


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