NON à la destruction du réseau SARAH ALSACE


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2011-07-10 13:33

Nous avons rencontré M Briant, du SARAH, quand nos fils, jumeaux, terminaient le collège en 2005.
Ce fut comme une "bouée de sauvetage".
Le chemin avait déjà été long avec nos fils et au collège, nous étions plongés dans le "noir le plus complet".
Il y a peu de mots pour décrire la souffrance et l'épuisement où nous étions parvenus.
Dès la Maternelle, nos enfants, atteints de plusieurs troubles DYS,se sont de plus en plus "noyés" dans le système de l'Education Nationale française, où les Troubles Spécifiques des Apprentissages ne sont ni connus ni pris en compte( les progrès actuels et récents ne sont de loin pas suffisants )
Quand le SARAH est intervenu, nous avons été guidés et aidés de façon concrète et REELLE,
et nous avons vu l'un de nos fils sortir complètement de la spirale de l'échec( l'autre moins, car il n'a pas trouvé un lieu d'apprentissage favorable )
La situation dramatique de toute la famille a commencé à s'améliorer.
Qu'aurions-nous fait sans le SARAH ?
Nous avons suivi l'évolution du SARAH avec attention, heureux de voir son action augmenter
et tendre la main à de plus en plus de jeunes qui en ont besoin.
Nous ne pouvons même pas imaginer que le SARAH ne puisse pas continuer et RENFORCER encore sa mission.
Nous pouvons vraiment témoigner de leur disponibilité, de leur efficacité et de leurs efforts incessants.
Tant que l'Education Nationale n'a pas complètement changé son fonctionnement la mission du SARAH est primordiale pour certains jeunes.