Salaire IEG 2014

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 SALAIRES AVANCEMENTS
METTRE LA « PRESSION » POUR EXIGER NOTRE DÛ

Le 28 novembre est convoquée une Commission Paritaire de la Branche des IEG, qui verra s’ouvrir
les négociations salariales 2014.
La loi de finances 2014 prévoit une inflation de 1,3 % et
cette même loi de finances indique clairement la volonté des
élus du peuple : les efforts doivent être tournés vers l’emploi
et la croissance. Une volonté qui s’exprime d’ailleurs par
des baisses de charges pour les entreprises avec le Crédit
d’impôt Compétitivité Emploi (CICE) et l’abandon de la
création d’une taxe sur Excédent Brut d’Exploitation (EBE).
Faut-il le rappeler, l’économie de notre belle nation a
pour pilier la « Consommation des ménages ». Augmenter
les salaires reste le meilleur moyen de faire tourner
l’économie, de faire travailler nos industries, nos artisans,
et de créer de l’emploi.
Pour FO, les Industries Électriques et Gazières démontrent leur capacité à contribuer
à cette dynamique au vu de leurs résultats et des prévisions financières.
Pour FO, il faut mettre fin à « la Rigueur » qui se traduit par l’austérité Salariale et qui
entraîne notre économie dans la spirale de la récession (au troisième trimestre 2013 le
PIB de la France recul de 0,1 %).
C’est pourquoi FO vous invite à traduire cette attente en signant et en faisant signer la pétition
que nous remettrons aux employeurs le 28 novembre 2013.
Nos voix doivent raisonner plus fort que les diktats des marchés financiers.
Signer et faites signer la pétition
pour augmenter le pouvoir d’achat des Électriciens et Gaziers.

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En vue de la négociation Salariale 2014 de la branche des IEG, les soussignés exigent :
• Un rattrapage du pouvoir d’achat par le versement d’une prime doublant la gratification
de fin d’année.
• Le relèvement des minima d’embauche au NR 50, 110 et 180.
• La mise en place de contingents spéciaux « jeunes recrutés ».
• La mise en place d’un contingent senior visant à compenser les ralentissements de
carrière et les réformes des retraites.
• Une augmentation du Salaire National de Base (SNB) supérieure à l’inflation prévue de 1,3 %.